Empirical studies on agricultural technology adoption generally divide a population into adopters and nonadopters, and analyse the reasons for adoption or nonadoption at a point in time. In reality, technology adoption is not a one-off static decision, rather it involves a dynamic process in which information gathering, learning and experience play pivotal roles, particularly in the early stage of adoption. A conceptual framework for an adoption pathway is suggested in which farmers move from learning to adoption, to continuous or discontinuous use over time.
This study describes the evolving context and organisational linkages in the agricultural innovation system of Azerbaijan and suggests ways to promote effective organisational ties for the development, distribution and use of new or improved information and knowledge related to agriculture. Graph-theoretic principles and concepts are employed to assess the existing organisational linkages vital for agricultural innovations.
This study introduces a framework for managing information flow in innovation systems. An organisation's capacity to receive information, to share it with others and to learn from it is assumed to be the key factor that shapes the flow patterns and, hence, the performance of the innovation system concerned. The framework is applied to characterise the information structure underlying the agricultural innovation system of Azerbaijan and to develop an information strategy for the system to accelerate the information flow.
In Mexico there are public programs that promote the improvement of the technical and productive conditions of the agriculture sector through organisations such as Produce Foundation Puebla (FUPPUE). This organisation has implemented diverse mechanisms oriented to promoting farmers' technological and productive capabilities. However in some cases when the FUPPUE leaves them, farmers' capabilities and performance decrease within a short period of time.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This paper identifies market failures that limit agricultural R&D for Africa and other resource-poor environments, and proposes a way to complement existing institutions with cash prizes for the dissemination of successful new technologies adopted by low-income farmers. The proposed prize institution would use agronomic experiments and farm surveys to document the value of innovations after their initial diffusion, and offer payments in proportion to estimated social benefits in target regions.