This report is part of the AFRHINET project under the ACP-EU Cooperation Programme in Science and Technology (S&T II). The overall aims of the project are to enhance options for sustainable integration of rainwater harvesting for irrigation through understanding adoption constraints and developing networks for capacity building and technology transfer. The African partners are Addis Ababa University and WaterAid-Ethiopia in Ethiopia, University of Nairobi and ICRAF-Searnet in Kenya, Eduardo Mondlane University in Mozambique, and University of Zimbabwe and ICRISAT-Zimbabwe in Zimbabwe.
These recommendations are a compilation of 2 regional studies at sub-Saharan Africa level which focused on research and technology transfer in the field of rainwater harvesting irrigatio nmanagement on one hand (section 3), and effective policy recommendations on the use of rainwater for off-season small-scale irrigation on the other (section 4). The regional studies upon which this transnational study is based come from the analysis of national studies in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This study has been produced with the overall goal to document and analyse exisiting best practices in the field of RWHI management in sub-Saharan Africa, with a special focus on Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe. This is meant to determine the suitability of RWHI management under multivariate biophysical and socioeconomic conditions. The best practices include specific information and know-how on the performance, cost-efficiency and impacts of RWHI technologies.