Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
Grown in Jamaica since the days of slavery, food yams are major staples in local diets and a significant non-traditional export crop. The cultivation system used today is the same as 300 years ago, with alleged unsustainable practices. A new cultivation system called minisett was introduced in 1985 but the adoption rate twenty four years later is extremely low.
Agricultural knowledge and innovation system (AKIS) has a strong potential to enhance economic performance of farming and contribute to agricultural sustainability, as it may increase synergies and complementarity among actors. This paper is aimed to develop a proposed framework to strengthen AKIS in the study area based on the results of this study. This paper explores perception and views about strengthening AKIS in Dakhalia governorate of Egypt by applying a multi-actor approach. Quantitative and qualitative data were collected through face-to-face interviews and focus group discussion.
The agricultural industry is getting more data-centric and requires precise, more advanced data and technologies than before, despite being familiar with agricultural processes. The agriculture industry is being advanced by various information and advanced communication technologies, such as the Internet of Things (IoT). The rapid emergence of these advanced technologies has restructured almost all other industries, as well as advanced agriculture, which has shifted the industry from a statistical approach to a quantitative one.
The creation of commercialization opportunities for smallholder farmers has taken primacy on the development agenda of many developing countries. Invariably, most of the smallholders are less productive than commercial farmers and continue to lag in commercialization. Apart from the various multifaceted challenges which smallholder farmers face, limited access to extension services stands as the underlying constraint to their sustainability.
Conventional approaches to agricultural extension based on top–down technology transfer and information dissemination models are inadequate to help smallholder farmers tackle increasingly complex agroclimatic adversities. Innovative service delivery alternatives, such as field schools, exist but are mostly implemented in isolationistic silos with little effort to integrate them for cost reduction and greater technical effectiveness.