Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Este trabajo está estructurado en tres partes. La primera explica el marco teórico-metodológico en el que se realizó la investigación, así como el área geográfica a la que circunscribe; la segunda presenta las condiciones del surgimiento de los tianguis alternativos locales en México, su contexto y diversidad (orgánicos, agroecológicos, de agricultura familiar); y, finalmente, el tercer apartado, establece la reflexión sobre los mecanismos organizativos en los tianguis alternativos locales como procesos de innovación socioambiental
This publication is based on invited papers presented at the conference "Agricultural Biotechnology in Developing Countries: Towards Optimizing the Benefits for the Poor", held in November 1999 at the Center for Development Research (ZEF), University of Bonn. The conference was convened in collaboration with the International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), Hoechst Schering AgrEvo GmbH (now Aventis CropScience) and the German Foundation for International Development (Deutsche Stiftung fUr internationale Entwicldung - DSE).
It is now widely acknowledged that biotechnology will have significant implications for development. While biotechnology’s potential for low income economies is still the subject of controversy, this paper argues that it is precisely in these countries that food and agriculture related biotechnology could efficiently contribute to the achievement of development objectives. To date, however, biotechnological advances have been realized predominantly in industrialized countries.
Innovations are fast changing the agricultural landscape driven by the increasing need to shift towards sustainable practices without sacrificing the productivity and profitability of farming. Innovations in technology, institutions, processes, and products have contributed to the growth of agriculture, globally and in developing countries including India and Africa, as observed in the cases of green revolution in cereals; and gene revolution in cotton.
To achieve food security for all, new resource policies for sustainable land and water use are needed. Land, water and energy need to be considered jointly in policies, not in isolation.