Los enfoques y prácticas de extensión se han transformado notablemente en las últimas décadas. A la vez, numerosos autores han señalado la persistencia de enfoques difusionistas tanto en las instituciones como en las prácticas de los extensionistas. En esta investigación se analizan las prácticas de extensión implementadas en el noreste argentino, se las compara con propuestas institucionales y académicas actuales y se extraen aprendizajes. Para esto se realizaron 40 entrevistas a extensionistas que trabajan en el ámbito público en las provincias de Chaco, Corrientes, Formosa y Misiones.
La extensión rural constituye un factor clave en la mejora de la calidad de vida de los pequeños productores. Se llevó a cabo un estudio cualitativo de la problemática de extensión rural en Paraguay, con particular énfasis en el departamento de Caazapá. Para esto se realizaron entrevistas a pequeños productores, extensionistas y referentes institucionales, las cuales fueron desgrabadas y su contenido categorizado.
En vista de que las concepciones de extensión guían las acciones de los extensionistas en terreno, se realizó una encuesta vía correo electrónico a gestores argentinos que trabajan en el ámbito público nacional. Se obtuvieron 219 respuestas a preguntas abiertas que fueron categorizadas y cuantificadas. La concepción de extensión observada no corresponde con los modelos teóricos y se observa la articulación de elementos correspondientes a diferentes modelos.
Resulta indispensable discutir los contenidos y las metodologías utilizadas para formar extensionistas, muchas veces focalizadas exclusivamente en conocimientos técnicos e implementadas según una lógica transferencista. Así, en este trabajo, a través de la realización de entrevistas, se analizan las necesidades formativas de los extensionistas rurales paraguayos indagando su función, los problemas a los que se enfrentan en su práctica y sus propios intereses formativos.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.