La cadena productiva incluye la tecnología y el saber-cómo utilizarla eficientemente (know-how). También existe la cadena de “suministro” que complementa la cadena productiva, donde se integra la actividad de los proveedores de materiales y servicios a la producción, la distribución de los productos o servicios terminados y su compra por los clientes. La cadena de suministro incluye la coordinación entre suministradores, intermediarios y clientes. En esencia, integra las actividades de suministro y demanda, dentro y fuera de las compañías.
The Sourcebook is the outcome of joint planning, continued interest in gender and agriculture, and concerted efforts by the World Bank, FAO, and IFAD. The purpose of the Sourcebook is to act as a guide for practitioners and technical staff inaddressing gender issues and integrating gender-responsive actions in the design and implementation of agricultural projects and programs. It speaks not with gender specialists on how to improve their skills but rather reaches out to technical experts to guide them in thinking through how to integrate gender dimensions into their operations.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
Cet article présente une enquête menée dans le nord-ouest du Nicaragua, qui vise à comprendre comment les flux d’argent et d’aliments générés par les activités diversifiées et multilocalisées des familles agricoles interviennent dans l’accès aux aliments et dans la perception de la sécurité alimentaire. Dans la région d’étude, l’agriculture familiale est caractérisée par des conditions agro-écologiques difficiles et repose sur la production vivrière et l’élevage bovin.
L’agriculture mondiale est confrontée à de nombreux défis en termes de souveraineté alimentaire. Il s’agit d’abord d’assurer un accès équitable à la nourriture et aux produits agricoles de première nécessité pour une population mondiale croissante. Il s’agit ensuite d’inclure la production agricole dans une perspective plus générale de lutte contre la pauvreté, l’inégalité et la malnutrition dans le monde. Il s’agit enfin de contribuer à une gestion plus durable des ressources naturelles et agricoles et de la biodiversité.
L’article analyse en quoi et comment la recherche peut être un vecteur de renforcement des dynamiques collectives des territoires par la méthode participative ImpresS (Impact des recherches au Sud). Celle-ci qualifie la façon dont la recherche accompagne les processus d’innovation et y contribue, et la façon dont elle renforce les actions collectives par la création de nouveaux espaces de dialogue et d’échanges entre les chercheurs et les parties prenantes d’un projet d’indication géographique (IG).
La notion de service écosystémique est devenue incontournable dans les discours institutionnels et académiques en dépit des controverses et des critiques. Initialement portée par les acteurs de la conservation de la biodiversité, elle connaît depuis plusieurs années un déploiement dans les milieux agricoles. Si l’idée selon laquelle les fonctionnalités des écosystèmes sont déterminantes dans la production agricole n’est pas nouvelle, cette notion permet de mettre en évidence les nouveaux enjeux liés aux changements climatiques et aux besoins alimentaires croissants.
Le développement territorial durable requiert des innovations aussi bien techniques, que sociales et institutionnelles. Favoriser ces innovations est l'objectif des récentes démarches d'ingénierie territoriale qui adaptent les processus d'innovation développés en entreprise. Dans cet article, la pertinence de cette orientation est discutée en s'appuyant sur les enseignements d'une recherche-action, menée dans un territoire « fragilisé » : l' « Alto Sertão du Piauí et du Pernambouco », dans le Nordeste brésilien.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
Rural extension plays a significant and irreplaceable role in an innovation system that creates, designs, validates, and promotes new ideas, solutions, technologies, and forms of management focused on the resolution of problems and satisfaction of the needs of farmers and rural inhabitants and the organizations that represent them. In view of the above, this document presents proposals for making rural extension a key part of innovation systems focused on rural territorial development.