KIT and the Association for Strengthening Agricultural Research in Eastern and Central Africa (ASARECA) published this joint publication in which farmers were put in the driver’s seat. Within the programme ‘farmer empowerment for innovation in smallholder agriculture’ (FEISA) farmers were provided tools and skills to enhance collaboration with private enterprises, as well as service providers, in multi stakeholder ‘innovation triangles’ within value chains for the benefit of smallholder farmers.
This review studied a selection of projects from the Research Into Use (RIU) Africa portfolio: the Nyagatare maize platform in Rwanda; the cowpea platform in Kano state, Nigeria; the pork platform in Malawi, the Farm Input Promotions (FIPS) Best Bet in Kenya, and the Armyworm Best Bet in Kenya and Tanzania. For each of the selected projects, assessments were made on how it changed the capacity to innovate, the household level poverty impact, whether the intervention off ered value for money, and what were the main lessons learned.
In-depth analysis of the role and capacity development needs of farmers organization in innovation processes, using the evidence from a number of case studies from contemporary SSA agriculture. Experiences indicate that Farmers’organizations (FOs) can play an important role in sharing knowledge-for-innovation by initiating multi-actor platforms for interactive learning and by implementing joint activity programmes (including use of the media) with extension services on a cost-sharing basis.
The Participatory Market Chain Approach (PMCA), which aims to stimulate gender-responsive innovations in commodity chains, was used to improve the performance of ALVs market chains in central Uganda. This paper presents the results of applying the PMCA in a phased manner on the Indigenous African Leafy Vegetables (ALVs) commodity chain in the context of a collaborative research project implemented in central Uganda
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This study sought to examine the gaps and draw lessons for effective Innovation platforms (IPs) formation using the case of the coffee IPs in the four districts of Luwero, Ntungamo, Bushenyi and Rakai in Uganda. Data were collected through key informant interviews with 32 actors of the coffee steering committees and from document review. Qualitative data analysis was conducted using content and thematic analysis