Public-private partnerships are a new way of carrying out research and development (R&D) in Latin America's agricultural sector. These partnerships spur innovation for agricultural development and have various advantages over other institutional arrangements fostering R&D. This report summarizes the experiences of a research project that analyzed 125 public-private research partnerships (PPPs) in 12 Latin American countries. The analysis indicates that several types of partnerships have emerged in response to the various needs of the different partners.
In this paper, results from a study on the use of improved coffee production technology schemes among smallholder coffee producers in three prominent coffee producing regions in Honduras are presented. The impact of various schemes (trajectories) in which different agents influence the producers’ decision to use new technologies was analyzed. In particular, there are differences in the influence of a) private coffee buying organizations and b) government and public development agencies on the innovation behavior of coffee growers.
Public–private partnerships that aim at the development of innovations have gained increasing attention from governments, public research and private companies, because they enable partners to draw from complementary resources and profit from synergy and joint learning. This article develops arguments for when partnerships should form and compares them with experiences in real partnership cases in Latin America.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Desde los años 70, los estudios sobre adopción de innovaciones agrícolas han estado dominados por una perspectiva según la cual la decisión de adoptar es un asunto individual, centrado en la utilidad percibida por el productor. En años recientes ha crecido el interés por comprender el papel de la interacción social en estos procesos. Poco a poco, conceptos como capital o aprendizaje social han ganado terreno entre los analistas. Sin embargo, casi ningún estudio ha utilizado el Análisis de Redes Sociales.