Growing local and informal markets in Asia and Africa provide both challenges and opportunities for small holders. In developing countries, market failures often lead to suboptimal performance of the value chains and limited and inequitable participation of the poor. In recent years, innovation platforms have been promoted as mechanisms to stimulate and support multistakeholder collaboration in the context of research for development. They are recognized as having the potential to link value chain actors, and enhance communication and collaboration to overcome market failures.
The presentation was given in January 2009 and introduced why a new approach for livestock development for poverty alleviation was desirable, innovation, innovation systems and value chains, building of innovation platforms, learning-oriented monitoring and evaluation, and scaling up and out.
Social structure, especially in the form of social networks, affects the adoption of agricultural technologies. In light of an increasing focus on new demand-driven agricultural extension approaches that leverage social networks as an opportunity, too little is known about (a) which network characteristics matter? and (b) how do specific network characteristics matter? This paper investigates the impact of social networks in relation to smallholder dairy production technology adoption in Ethiopia.
Ethiopia has a diverse agro-ecology and sufficient surface and ground water resources, suitable for growing various temperate and tropical fruits. Although various tropical and temperate fruits are grown in the lowland/midland and highland agro-ecologies, the area coverage is very limited. For example, banana export increased from less than 5,000 tons in 1961 to 60,000 tons in 1972, but in 2003 declined to about 1,300 tons worth less than USD 350,000.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.