Research for development (R4D) projects increasingly engage in multi-stakeholder innovation platforms (IPs) asan innovation methodology, but there is limited knowledge of how the IP methodology spreads from one contextto another. That is, how experimentation with an IP approach in one context leads to it being succesfully re-plicated in other contexts.
Multi-stakeholder platforms have become mainstream in projects, programmes and policy interventions aiming to improve innovation and livelihoods systems, i.e. research for development interventions in low-and middle-income contexts. However, the evidence for multi-stakeholder platforms' contribution to the performance of research for development interventions and their added value is not compelling. This paper focuses on stakeholder participation as one of the channels for multi-stakeholder platforms' contribution to the performance of research for development interventions, i.e.
Utilization of systems approach using multistakeholder process as modality of intervention has been increasingly experimented in agricultural research in tropical zones. Recent research findings indicated strong evidence of the positive contribution of research for development (R4D) and innovation platforms (IP) in increasing the impact of research for development interventions. However, specific factors of the process leading to higher impact yet to discovered.
This paper seeks to contribute to a better understanding of the complex dynamics that shape the contribution of research to policy and innovation processes that address ‘competing claims’ on natural resources and their management.
Rapid Appraisal of Agricultural Innovation Systems (RAAIS) is a peer-reviewed research for development tool that has been developed, tested and used in 18 countries across 3 continents.
RAAIS supports the identification and analysis of complex agricultural problems in agrifood systems. The joint assessment of problems and identification of innovations to overcome these problems with farmers, policymakers, private sector and other stakeholders provides a starting point for collective action towards achieving development outcomes and impact.
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met-elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il ainsi plusieurs concepts de résilience ?
Cet article présente une enquête menée dans le nord-ouest du Nicaragua, qui vise à comprendre comment les flux d’argent et d’aliments générés par les activités diversifiées et multilocalisées des familles agricoles interviennent dans l’accès aux aliments et dans la perception de la sécurité alimentaire. Dans la région d’étude, l’agriculture familiale est caractérisée par des conditions agro-écologiques difficiles et repose sur la production vivrière et l’élevage bovin.
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri).
Xanthomonas Wilt of Banana (BXW) is a complex problem in the African Great Lakes Region that is affecting the livelihoods of millions of smallholder farmers. Since the first disease reports from Uganda and the Democratic Republic of Congo in 2001, BXW has been studied widely. The majority of these studies focus on the technological or biophysical dimensions, while aspects and influence of socio-cultural, economic and institutional dimensions only recently started to gain attention.