The Newsletter of the Tropical Agriculture Platform (TAP) provides regular updates on global activities by TAP and its partners, on the projects and on upcoming events. This issue specifically refers to the period from February to April 2021.
This video has been prepared by the Secretariat of the Tropical Agriculture Platform (TAP) to present to the G20 Agriculture Deputies Meeting 2021 the work and results achieved by TAP and its partners in 2020.
Este video ilustra los objetivos y el trabajo de la Plataforma de la Agricultura Tropical (TAP), una iniciativa del Grupo de los Veinte (G20) respaldada por la Unión Europea para mejorar la eficiencia y eficacia de los programas de desarrollo de capacidades y el intercambio de conocimientos con el fin de fortalecer los sistemas de innovación agrícola en los trópicos y subtrópicos. La Secretaría de la TAP está albergada en la Unidad de Investigación y Extensión de la Oficina de Innovación de la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO).
Cette vidéo illustre les objectifs et les travaux de la Plateforme d'agriculture tropicale (TAP), une initiative du G20 soutenue par l'Union européenne pour améliorer l'efficience et l'efficacité des programmes de développement des capacités et du partage des connaissances afin de renforcer les systèmes d'innovation agricole dans les régions tropicales et subtropicales. tropiques. Le Secrétariat du TAP est hébergé par l'Unité de recherche et de vulgarisation du Bureau de l'innovation de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
This report provides an overview of the Tropical Agriculture Platform (TAP) since its inception in 2012, when it was officially launched by FAO at the first G20 Meeting of Agriculture Chief Scientists (MACS) in September 2012 in Mexico, until December 2018. The G20 Agriculture Deputies agreed on this stock taking exercise that started under the 2018 Argentinian G20 Presidency.
This exercise was done on the occasion of the G20 MACS meeting in April 2019 in Japan. Its purposes are the following:
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met-elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il ainsi plusieurs concepts de résilience ?
Cet article présente une enquête menée dans le nord-ouest du Nicaragua, qui vise à comprendre comment les flux d’argent et d’aliments générés par les activités diversifiées et multilocalisées des familles agricoles interviennent dans l’accès aux aliments et dans la perception de la sécurité alimentaire. Dans la région d’étude, l’agriculture familiale est caractérisée par des conditions agro-écologiques difficiles et repose sur la production vivrière et l’élevage bovin.
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri).
This paper assesses the relationships between women’s dietary diversity and various indicators of agricultural biodiversity in farms of the Hauts-Bassins, a cotton-growing region in rural western Burkina Faso. A sample of 579 farms representative of the region was surveyed at three different periods of the year. Using a qualitative 24-h dietary recall, we computed a women’s dietary diversity score (WDDS-10) based on ten food groups.