The LIVES project works to increase adoption of value chain interventions through use of improved knowledge and capacity by value chain actors and service providers. Knowledge management and capacity development are important components of the project to fill gaps in knowledge and capacity of value chain actors and service providers. Capacity is defined as the capabilities (knowledge, skills, experience, values, motivations, organizational processes, and linkages) that determine how well value chain actors and service providers utilize resources, market opportunities, and relationships.
The Livestock and Irrigation Value Chains for Ethiopian Smallholders (LIVES) project supports the efforts of the GoE to transform the smallholder agriculture sector to a more market-oriented sector. LIVES uses a value chain framework to develop targeted livestock and irrigated agriculture commodities through integrated technical and institutional innovations. Such a framework recognizes that value chain actors add value at different stages of the value chain and that individuals and organizations provide inputs and services to the value chain actors.
The poster was prepared for Tropentag 2012: Resilience of Agricultural Systems against Crises, Gottingen, Germany, 19-21 September 2012. It briefed the objective, approaches, achievements and lessons of the Improving Productivity and Market Success (IPMS) project.
The IPMS project proposes to ‘contribute to improved agricultural productivity and production through market-oriented agricultural development, as a means for achieving improved and sustainable livelihoods for the rural population’ in Ethiopia. To accomplish this goal the project supports development and (action) research on innovative technologies, processes and institutional arrangements in three focus areas i.e.
Ethiopian needs to achieve accelerated agricultural development along a sustainable commercialization path to alleviate poverty and ensure overall national development. In this regard, sustainable commercial of smallholder dairying provides a viable and growing opportunity; with deliberate, appropriate and sustained policy support. A recent empirical analysis concludes however, that Ethiopian smallholder dairy sub-sector has not been able to take-off despite decades of development interventions.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.