En los últimos años, han surgido nuevas oportunidades que permiten que las organizaciones de investigación adopten prácticas innovadoras que fomentan la gestión y el intercambio del conocimiento, tanto a nivel interno como entre sus respectivas redes.
Participatory Impact Pathways Analysis (PIPA) is a practical approach to planning, monitoring and evaluation, developed for use with complex research-for-development projects. PIPA begins with a participatory workshop where stakeholders make explicit their assumptions about how their project will make an impact, and produce an ‘Outcomes logic model’ and an ‘Impact logic model’. These two logic models provide an ex-ante framework of predictions of impact that can also be used in priority setting and ex-post impact assessment.
This article describes the experience of analyzing groups of Colombian fruit farmers’ capacity to collect information and their interest and ability to take advantage of the opportunities offered by information and communication technologies (ICTs). Three cycles were designed to understand the attitudes, skills, and current practices of fruit growers and to define the necessary conditions for effective information sharing. The three cycles involved individual farmers, farmer groups meeting face to face, and virtual meeting with farmer groups.
Global climate change and food security are complex and closely intertwined challenges. A key requirement for dealing with them successfully is that agriculture becomes more eco-efficient. As researchers work toward this goal, they must always ask, “Efficiency for whom?” Finding answers to this question requires that research be conducted from a systems perspective in a broadly participatory manner involving complex collaborative arrangements.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.