This case study zooms in on multi-stakeholder processes in the East and Central Africa (ECA) Action Area or Flagship that were launched on 20 May 2013 in Bukavu, DR Congo. The ECA Flagship encom-passes the Rwanda, DR Congo, Burundi, Uganda, Kenya and Ethiopia Action Sites. More specifically, the case study describes and reflects upon the first two years of CGIAR Humidtropics in DR Congo. aiming to outline the multi-stakeholder process as it unfolded and highlight lessons that can be learned from this.
Utilization of systems approach using multistakeholder process as modality of intervention has been increasingly experimented in agricultural research in tropical zones. Recent research findings indicated strong evidence of the positive contribution of research for development (R4D) and innovation platforms (IP) in increasing the impact of research for development interventions. However, specific factors of the process leading to higher impact yet to discovered.
Farmers in the Lake Victoria crescent zone have over the years struggled with pests and diseases in a country full of fake agricultural inputs, access to markets, post-harvest losses, declining soil fertility and the changes of weather. The production for most farmers is rain fed and is greatly affected by climatic changes. The Mukono Wakiso innovation platform (IP) was formed to help farmers find solutions to these issues.
Rapid Appraisal of Agricultural Innovation Systems (RAAIS) is a peer-reviewed research for development tool that has been developed, tested and used in 18 countries across 3 continents.
RAAIS supports the identification and analysis of complex agricultural problems in agrifood systems. The joint assessment of problems and identification of innovations to overcome these problems with farmers, policymakers, private sector and other stakeholders provides a starting point for collective action towards achieving development outcomes and impact.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.