Los aportes de la agricultura para el país son indiscutibles: cerca del 20% al Producto Interno Bruto, 40% del empleo nacional, alimentos; aunque la mayoría de cultivos se producen en sistemas convencionales algunos como el café y el cacao son generadores de servicios ecosistemicos como la captura de carbono y la infiltración de agua. Así mismo, la agricultura es generadora de cohesión social comunitaria y un extraordinario reservorio de cultura popular. Tres elementos de contexto ponen en riesgo este carácter multifuncional de la agricultura.
Este documento está pensado para dar una respuesta integrada a las necesidades específicas de los jóvenes rurales, trabajando desde temas de empoderamiento personal y grupal como autoestima, liderazgo, trabajo en equipo y comunicación, etc.; hacia otros más técnicos como asociatividad, generación de empresas, formulación de proyectos, gestión territorial y políticas públicas, entre otros. Procurando con ello una preparación más holística para enfrentar los retos de la ruralidad y las capacidades suficientes para tener un mejor acceso a las oportunidades de su entorno.
El IICA ha elaborado este libro, La innovación para el logro de una agricultura competitiva, sustentable e inclusiva, para ofrecer a los países miembros, a los gobiernos, a los productores y a los actores relacionados con la agricultura continental una visión panorámica de este tema central para el sector agrícola.
ICA has developed this book, Innovation to achieve competitive, sustainable and inclusive agriculture with the purpose of offering member countries, governments, farmers and stakeholders in the continent an overview of this central issue for the agricultural sector. The document explains the importance of agricultural innovation and the way in which IICA has addressed and developed, based on the guidelines defined by the Heads of State and the Ministers of Agriculture of the Americas, the actions included in the strategic plan and the medium-term plans.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
La capacité de la région Proche-Orient et Afrique du Nord à réaliser des avancées majeures dans la concrétisation du deuxième Objectif de développement durable (ODD 2) dépendra, dans une large mesure, de la gestion durable des ressources en eau pour l’agriculture et de l’adaptation au changement climatique. La transformation agricole dans cette partie du monde a suivi une trajectoire particulière ayant conduit à un déséquilibre entre le développement agricole rural et urbain, qui se manifeste de manière très visible dans les systèmes de production alimentaire.