La crise alimentaire mondiale de 2008 a bien évidemment également touché l’Afrique de l’ouest et l’une de ses filières phares : le riz. Cette crise a incité les États et les institutions régionales à mettre en oeuvre des mesures visant à améliorer la production et l’offre locales de riz.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
This paper highlights lessons learned from the development of PAEPARD-supported consortia, which illustrate various impacts of brokerage. The preliminary conclusions and recommendations may appear obvious at first sight, but will be useful for informing the implementation of brokerage activities until PAEPARD activities come to an end in December 2017.
Ce document met en évidence les enseignements tirés de la constitution de consortiums appuyés par PAEPARD, qui illustrent les différents impacts de la médiation. Les conclusions et recommandations préliminaires peuvent sembler évidentes à première vue, mais seront utiles pour informer de la mise en œuvre des activités de courtage jusqu'à la fin des activités de PAEPARD en décembre 2017.
This document presents a summary of the main findings of sector and multi-stakeholder consultations conducted by the Platform for African European Partnership on Agricultural Research for Development (PAEPARD) during 2010-2012. It provides recommendations for the sustainable establishment of partnerships in agricultural research for development (ARD), between African and European partners in particular, to be innovative, balanced and demand-driven.
Ce document présente un résumé des principales conclusions des consultations sectorielles et multi-acteurs menées par la Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement (PAEPARD) entre 2010 et 2012. Il formule des recommandations pour l’élaboration de partenariats durables, innovants, équilibrés, en particulier entre partenaires africains et européens, et pilotés par la demande dans le domaine de la recherche agricole pour le développement (RAD).
Most agencies supporting agricultural research in sub-Saharan Africa (SSA) provide funds for discrete projects over specific periods of time, usually a maximum of three years. Research topics identified for calls for proposals are not always well aligned with users’ needs. In particular, research topics may not reflect the priorities of organizations - such as farmer organizations and private agribusinesses, with interests in the research outcomes; they are not generally supported to play a significant role as project partners.
La plupart des agences qui soutiennent la recherche agricole en Afrique subsaharienne fournissent des financements à des projets distincts durant des périodes spécifiques, en général pour une durée maximale de trois ans. Les sujets de recherche identifiés pour les appels à propositions ne correspondent pas toujours aux besoins des utilisateurs. Ils peuvent, en particulier, ne pas refléter les priorités des organisations – comme les organisations paysannes ou les entreprises agricoles privées, pourtant intéressées par les résultats de la recherche.
Wthin the context of ARD, capacity strengthening is seen as a process of continual development, as opposed to one-off training. It enhances interaction, builds trust and creates synergy between research institutions and public and private sector actors, smallholder farmers and development organizations. Strengthening the capacities of these different actors for collaboration enables them to address a whole range of activities, investments and policies, and take advantage of opportunities to make change happen.