À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Selon Olivier De Schutter, l’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans, tout en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique. Au Burkina Faso, des initiatives et projets agroécologiques voient le jour. Ce reportage de 17 minutes part à la rencontre de ces praticiens de l’agroécologie.
For many years, rural women have been creating their own agri-food processing companies, that promote local agriculture by bringing to the market original foods in products that are accessible to urban populations. The aim of CDAIS is to support their development by strengthening their capacities to experiment and learn together, as well as to negotiate and make contracts with suppliers and traders. And Dakoupa in Bobo Dioulasso is one of many small family businesses supported by CDAIS through the women-led agri-food processing microenterprise innovation partnership.
Depuis de nombreuses années, des femmes créent leurs propres entreprises de transformation agro-alimentaire en valorisant des produits agricoles locaux et en mettant sur le marché des aliments originaux et accessibles aux populations urbaines. L’objectif du projet CDAIS est d’appuyer leur développement en renforçant leurs capacités à expérimenter et apprendre ensemble, ainsi qu’à négocier et contractualiser avec leurs fournisseurs et distributeurs.
Inclusion is a key issue for Agricultural Research for Development (ARD). Development goals in and of themselves call for better livelihoods and opportunities for the less privileged actors working in agriculture. They also call for greater equity and balanced representation of the population at an institutional level. This brief focuses on how ARD processes can more sensitively address gender relations and youth issues. Women and young people have distinctive needs and interests which can be less visible within broader “Producer Organizations”, for example.
For many years, rural women have been creating their own agri-food processing companies, that promote local agriculture by bringing to the market original foods in products that are accessible to urban populations. The aim of CDAIS is to support their development by strengthening their capacities to experiment and learn together, as well as to negotiate and make contracts with suppliers and traders. And Dakoupa in Bobo Dioulasso is one of many small family businesses supported by CDAIS through the women-led agri-food processing microenterprise innovation partnership.
The aim of the book is to present contributions in theory, policy and practice to the science and policy of sustainable intensification by means of technological and institutional innovations in agriculture. The research insights re from Sub-Saharan Africa and South Asia. The purpose of this book is to be a reference for students, scholars and practitioners inthe field of science and policy for understanding and identifying agricultural productivity growth potentials in marginalized areas.
The goal of this tool is to help facilitators examine the roles that women and men play in an innovation partnership and to better integrate their specific needs and priorities in the interventions planned for the innovation partnership. Gender analysis of the innovation partnership can also be done throughout project implementation to monitor how men and women are integrated and benefit from the project and to reduce the gender gaps.