Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.
Le secteur agricole dans la bande de Gaza est confronté à un certain nombre de problèmes systémiques dont le plus important est l’épuisement de son aquifère côtier, qui est la seule source d’eau douce. L’aquifère est également extrêmement pollué, et la salinité élevée des eaux souterraines empêche certains des légumes les plus produits dans la bande de Gaza d’avoir un rendement satisfaisant.
Dans le cadre de ce projet (2015-2018), la FAO a travaillé dans 21 pays (voir la carte ci-dessous) au travers de partenariats avec des OSC nationales pour la réalisation d’ateliers de sensibilisation et de renforcement des capacités afin de: Améliorer les connaissances et la compréhension des OSC par rapport aux DVGF; Accroître leurs compétences en matière de construction et connexion de réseaux et de plaidoyer pour défendre leurs droits fonciers et renforcer les partenariats pour une meilleure application des DVGF à tous les niveaux; Renforcer leurs capacités pour une participation e
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
La FAO, en collaboration avec le ministère de l’agriculture du Gabon, a exécuté un projet d’intensification vivrière à travers la mécanisation agricole à Lébamba. En privilégiant l’approche Champs Ecoles Paysans (CEP), les populations regroupées en coopératives agricoles ont été formées sur les approches de l’agriculture durable, notamment à travers l’apprentissage de nouveaux itinéraires de culture. De plus, par l’utilisation des outils de mécanisation agricole, la pénibilité de leur travail est réduite et leur rendement est augmenté.
Los pequeños agricultores también contribuyen con las comidas escolares, incluyendo así alimentos frescos y localmente producidos que mejoran el rendimiento académico de niños y niñas y su permanencia en los centros educativos, al mismo tiempo que fortalecen la economía local. El Programa Mundial de Alimentos en Ecuador (PMA) trabaja, de manera conjunta con el Ministerio de Educación (MINEDUC), para complementar el Proyecto del Gobierno Nacional de “Intervención en la Alimentación Escolar” en centros educativos seleccionadas de la zona rural.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.