Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
En el artículo analizamos la innovación biotecnológica relacionada con los sectores agrícola y alimentario en México. Tomamos en cuenta las políticas públicas, las leyes y las reglamentaciones; la dinámica del sector y del merado. Asimismo, analizamos la forma en la que las empresas agro-alimentarias pueden aprovechar los insumos de conocimiento científico y tecnológico que ofrece la biotecnología.
En este artículo se hace una reflexión sobre los problemas que enfrenta la planificación del desarrollo local y sobre las críticas hacia la localización espacial de las actividades socioeconómicas, lo cual es extensivo al estudio de los sistemas agroalimentarios localizados (SIAL). Más adelante, se centra la discusión en la aportación latinoamericana al enfoque SIAL, con base en una perspectiva ética que aborda la visión humanista sobre la seguridad alimentaria desde el contexto de la relación global-local.
Uno de los problemas básicos que presenta el estudio y el análisis de la gobernanza de los Sistemas Agroalimentarios Localizados (Sial), consiste en la ausencia o debilidad de los indicadores. Uno de los pocos intentos que se han hecho en este sentido, es el realizado por Gómez, Boucher y Desjardins (2006) al tratar de analizar varios Sial en Colombia. Esta ponencia se propone identificar las dimensiones y acciones de gobernanza territorial.
La innovación es una condición fundamental para un crecimiento económico sostenido, que reduzca las disparidades sociales existentes en el país y permita un uso sustentable de sus recursos naturales.
Esta presentación trata de una estrategia para promover el desarrollo económico y social en una comunidad indígena colombiana.