This study provides a model that supports systematic stakeholder inclusion in agricultural technology. Building on the Responsible Research and Innovation (RRI) literature and attempting to add precision to the conversation around inclusion in technology design and governance, this study develops a framework for determining which stakeholder groups to engage in RRI processes. We developed the model using a specific industry case study: identifying the relevant stakeholders in the Canadian digital agriculture ecosystem.
Les technologies agricoles jouent un rôle central dans la production alimentaire mondiale. Une étude récemment publiée par le Conseil des technologies de l’information et des communications (CTIC) s’est penchée sur la question. On y fait valoir que les technologies sont nécessaires à l’amélioration de l’efficacité de la production agricole et de la durabilité des denrées alimentaires.
Global adoption of transgenic crops reached 67.7 million hectares in 2003 from 2.8 million in 1996. Delivery has occurred almost entirely through the private sector and adoption has been rapid in areas where the crops addressed serious production constraints and where farmers had access to the new technologies. Three countries (USA, Argentina and Canada), three crops (soybean, cotton and maize) and two traits (insect resistance and herbicide tolerance) account for the vast majority of global transgenic area.
This article extends social science research on big data and data platforms through a focus on agriculture, which has received relatively less attention than other sectors like health. In this paper, I use a responsible innovation framework to move attention to the social and ethical dimensions of big data “upstream,” to decision-making in the very selection of agricultural data and the building of its infrastructures.
Depuis toujours, l’agriculture repose sur la modification de la constitution génétique des plantes et des animaux. Grâce à la reproduction sélective, d’innombrables générations de cultures et d’animaux ont été sélectionnées en fonction de caractères jugés bénéfiques pour l’être humain.
À Montréal, les organisateurs et organisatrices communautaires (OC) interviennent dans différents champs de pratique, dont celui de la sécurité alimentaire. Ces professionnels définissent l’organisation communautaire comme une intervention de soutien professionnel et d’influence dans une communauté permettant d’agir sur les facteurs collectifs qui ont une incidence sur la santé et le bien-être. Elle s’adresse prioritairement aux populations précarisées dans une perspective de justice sociale. Cette étude porte sur les pratiques d’organisation communautaire en sécurité alimentaire.
L’insécurité alimentaire s’intensifie au Québec malgré des interventions gouvernementales qui s’attaquent à divers aspects du problème et font intervenir de nombreux acteurs fédéraux et provinciaux de différentes sphères d’action publique. Ce mémoire s’interroge sur la cohérence des actions publiques au sein de chacun des ordres de gouvernement (cohérence horizontale) et entre ces ordres de gouvernement (cohérence verticale).
Depuis 2015, plus de 60 000 réfugiés syriens ayant fui la guerre ont été réinstallés au Canada, dont près de 14 000 au Québec, faisant de cette vague le plus important accueil de réfugiés au Canada considérant le nombre d’individus et le court délai. Le but de cette étude est de comprendre comment les facteurs socio-économiques, géographiques et culturels affectent l’insécurité alimentaire des ménages de réfugiés syriens au Québec.
Cette étude exploratoire propose un modèle permettant d'associer les capacités d’OCSA à des mesures d’EO, selon une approche multidimensionnelle. Elle vise aussi à comparer les opérations des OCSA dans quatre régions du Québec. Une analyse secondaire des données a été réalisée sur les données d’une enquête téléphonique préliminaire à l’étude longitudinale PARCOURS : demander de l’aide alimentaire, et après?. Entre novembre 2017 et juin 2018, des représentants de 141 OCSA ont répondu à un questionnaire dressant un portrait de leurs opérations. L’échantillon incluait 64 organismes DON (i.e.
La dégradation accrue de la qualité des aliments est l'une des conséquences de l'industrialisation du secteur agricole et de l'agroalimentaire, processus qui a été intensifié par la globalisation et la conséquente ouverture des marchés aux produits étrangers concurrençant et fragilisant les entreprises et les petites fermes agricoles locales. Cet état de fait préoccupe aussi bien les agriculteurs que les consommateurs et n'a pas laissé indifférents les acteurs locaux qui s'investissent désormais pour des produits alimentaires de qualité et de proximité.