Multi-stakeholder platforms (MSPs) are seen as a promising vehicle to achieve agricultural development impacts. By increasing collaboration, exchange of knowledge and influence mediation among farmers, researchers and other stakeholders, MSPs supposedly enhance their ‘capacity to innovate’ and contribute to the ‘scaling of innovations’. The objective of this paper is to explore the capacity to innovate and scaling potential of three MSPs in Burundi, Rwanda and the South Kivu province located in the eastern part of Democratic Republic of Congo (DRC).
This is the first chapter of the book "Innovation platforms for agricultural development: Evaluating the mature innovation platforms landscape". It introduces the background, case study competition process, case study characterization and readers’ guide, and book outline. Characterization of the case studies includes their geographical spread, age and life stage of the platforms, and specific information on the multi-stakeholder processes, the content matter, platform support functions, and outcomes and impacts.
This chapter is a part of the book Integrated Agricultural Research for Development: from Concept to Practice. It focuses on the development and implementation of action plans for innovation platforms (IPs). The chapter introduces the constitution of committees, IP operationalisation, the case of IP functioning in the Democratic Republic of Congo, and post-formation issues for IPs.
The article examines the effect of membership in farmer groups (MFG) on adoption lag of agricultural technologies and farm performance in Burundi, the Democratic Republic of Congo and Rwanda. We use duration and stochastic production frontier models on farm household data. We find that the longer the duration of MFG, the shorter the adoption lag and much more so if combined with extension service delivery. Farmer groups function as an important mechanism for improving farm productivity through reduced technical inefficiency in input use.
The following contents were included in this newsletter (April–June 2014): the International Institute of Tropical Agriculture (IITA) held a two-day workshop on Engagement of Youth Entrepreneurship for Agricultural Transformation in Africa, from 28-30 May at IITA, Ibadan, Nigeria; cassava processing factory was established at the IITA Kalambo station in DR. Congo; project coordinator visits sites to evaluate project activities in Tanzania; stories on cassava, rice, wheat and maize were detailed.
Ce guide est né d’une demande de paysans africains qui souhaitaient s’engager dans des pratiques agricoles plus respectueuses de leur environnement et plus durables. Il a été conçu comme un outil d’accompagnement destiné à tous les paysans et techniciens souhaitant développer l’agroécologie et l’agroforesterie en zone tropicale humide. Après un rapide rappel du contexte et des enjeux actuels de l’agroécologie, il fournit des informations techniques, issues de l’expérience de quatre « terrains » (République démocratique du Congo, Myanmar, Cambodge et Inde).
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.