L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Ce document est le résultat d’un processus participatif ayant impliqué l’ensemble des parties prenantes dans la conduite de l’expérience pilote des champs écoles agropastoraux au Burkina Faso. Il constitue la synthèse des points de vue et des perceptions de différents acteurs institutionnels ayant participé activement à la réflexion critique de l’expérience.
Matrices de thèmes pour la formation des facilitateurs CEAP
Le Sénégal à l’instar des autres pays de la zone sahélienne est très vulnérable au changement climatique (CC). Cette vulnérabilité est liée à la dépendance de sa population rurale à une agriculture pluviale fragilisée par de multiples contraintes structurelles, notamment la variabilité interannuelle et inter-saisonnière des précipitations, la baisse de la fertilité des sols et les difficultés d’accès aux intrants et services agricoles (Albert et Springer, 2004).
Ce manuel est produit dans le cadre de la mise en œuvre du Projet GCP/MLI/033/LDF "Intégration de la résilience climatique dans la production agricole pour la sécurité alimentaire en milieu rural au Mali". Le projet est exécuté grâce à la facilitation technique de la FAO et le financement du Fonds Mondial pour l’Environnement (FEM). Son objectif est de renforcer les capacités du secteur agricole à faire face au changement climatique en incorporant les préoccupations et les stratégies d’adaptation dans les initiatives de développement agricole au Mali.