L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
Version abrégée de la publication phare de la FAO, L’État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2021, cette brochure contient les principaux messages et le contenu de la publication et est destiné aux médias, aux responsables politiques et au grand public
Pour répondre aux énormes besoins du Tanganyika, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) mettent en œuvre un programme intégré visant à renforcer la résilience des communautés et à consolider les chaînes de valeur agricoles. Ceci est fait en collaboration avec le gouvernement de la RDC (au niveau national et provincial) et les partenaires coopérants, y compris les organisations humanitaires nationales et internationales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.