This project report from Wageningen UR (as a contribution to the CGIAR Humid Tropics research program) examines critical issues for reflection when designing and implementing research for development in innovation platforms’. The current document therefore aims to increase awareness about the complexity of research in innovation. The underlying idea is that innovation platforms can facilitate institutional changes and support system innovations through increased interaction, negotiation and learning between stakeholders, including (new) roles of research(ers).
Innovation Platforms (IPs) are seen as a promising vehicle to foster a paradigm shift in agricultural research for development (AR4D). By facilitating interaction, negotiation and collective action between farmers, researchers and other stakeholders, IPs can contribute to more integrated, systemic innovation that is essential for achieving agricultural development impacts. However, successful implementation of IPs requires institutional change within AR4D establishments.
Multi-stakeholder (MS) platforms, such as innovation platforms (IP), public-private partnerships (PPP) are becoming more common but what they can achieve in innovation and scaling is limited and depends on different factors. This poster and the broader research paper provide evidence what MS platforms can and cannot achieve in their early phases and give insights about effectiveness and efficiency of Agricultural Research for Development (AR4D) interventions such as CGIAR research programs (CRPs) in low and middle income countries.
The three system CGIAR research programs on Integrated Systems for the Humid Tropics, Dryland Systems and Aquatic Agricultural Systems have included “capacity to innovate” as an intermediate development outcome in their respective theories of change. The wording of the intermediate development outcome is “increased systems capacity to innovate and contribute to improved livelihoods of low-income agricultural communities.” This note captures the CGIAR's collective thinking about this intermediate development outcome from a systems perspective to clarify it and inspire other programs.
Rapid appraisal of agricultural innovation systems (RAAIS) is a participatory, diagnostic tool for integrated analysis of complex agricultural problems. RAAIS facilitates interaction between different groups of stakeholders in collecting and analysing data. The poster briefs what RAAIS is, when to use it, what is available and where it has been used.
Consumer concerns are leading to changes in China’s food markets and demands for higher quality food. In this article, we explore the role of farmer cooperatives in China in linking farmers with high-quality food markets. We consider food quality a social construct and farmer cooperatives key players in the ‘quality battlefield’. Using a case study approach, we investigate the everyday practices of three farmer cooperatives.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.