Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.
Sustainable intensification (SI) is promoted as a rural development paradigm for sub-Saharan Africa. Achieving SI requires smallholder farmers to have access toinformation that is context-specific, increases their decision-making capacities, andadapts to changing environments. Current extension services often struggle toaddress these needs. New mobile phone-based services can help.
This policy brief shows how digital tools can help to ensure that public money for agricul-tural extension is spent wisely. Governments often fund offices, training centers, and the salaries of extension officers, but cannot eas-ily review the impacts of these expenditures. This is because the activities of extension agents are not monitored systematically. Ex-ension services rarely generate quantitative data on the effects of their work.
Agricultural extension in the Global South can benefit greatly from the use of modern information and communication technologies (ICT). Yet, despite two decades of promising experiences, this potential is not fully realized. Here, it is reviewed the relevant research literature to inform future investments into agricultural information services that harness the full potential of digital media.The study describes a recently emerging innovation agenda that is, in part, a response to the eventualfailure of many new agro-advisory initiatives.
Les travaux portant sur l’inclusion des petits exploitants dans l’agriculture contractuelle dans le monde dressent des constats contradictoires. En Algérie, l’État a engagé en 2009 un programme d’appui à l’intégration des filières lait et tomate industrielle, en accordant des primes aux entreprises et aux agriculteurs qui s’engagent ensemble dans des contrats de commercialisation.
La sécurité alimentaire de l’Algérie est en grande partie dépendante de deux facteurs fortement impactés par la pandémie de la covid-19 : les finances publiques et le marché mondial des produits alimentaires. Le poids des importations dans la satisfaction des besoins alimentaires du pays témoigne de cette sensibilité aux perturbations du fonctionnement de ce marché mondial.