While the Agricultural Science and Technology Indicators (ASTI) initiative provides data and analysis of domestic public and private spending on agricultural research and development for a wide range of developing countries, the literature pays little attention, if any, to foreign assistance to agricultural, fishing and forestry research and agricultural extension. The objective of the present study is to fill this gap.
Le renforcement des capacités à innover apparaît comme un nouveau moyen pour assurer un développement durable dans les pays du Sud. Dans le secteur de l'agriculture, l'innovation est essentiellement collective, ce qui appelle les chercheurs à sortir de leur rôle de producteurs de connaissances pour s'engager auprès des acteurs en situation d'innovation. Si une diversité de pratiques de recherche engagée sont apparues, il n'existe cependant pas aujourd'hui une vision claire des différentes façons dont les chercheurs contribuent à l'innovation.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.
This study explores the properties of innovation systems and their contribution to increased eco-efficiency in agriculture. Using aggregate data and econometric methods, the eco-efficiency of 79 countries was computed and a range of factors relating to research, extension, business and policy was examined. Despite data limitations, the analysis produced significant results.
As part of the EU funded AgriSpin project (www.agrispin.eu), which aimed at “creating space for innovations” in agriculture across Europe, this contribution addresses the above mentioned knowledge gaps by a. elaborating a generic typology appropriate to capture the variety of ISS, b. structuring selected innovations along the degree of technological change and coordination levels, and c.
This paper presents the common framework on CD for AIS developed by TAP and points to the relevance of meta-learning and the importance of “functional capacities”, if higher education institutions and their graduates are to become active players in the agricultural innovation system. The Framework was developed through an inclusive, participatory and multi-stakeholders approach with contributions by TAP Partners, including FARA and the Global Conference on Higher Education and Research in Agriculture.
This study explores the properties of innovation systems and their contribution to increased eco-efficiency in agriculture. Using aggregate data and econometric methods, the eco-efficiency of 79 countries was computed and a range of factors relating to research, extension, business and policy was examined. Despite data limitations, the analysis produced some interesting insights. For instance public research spending has a positive significant effect for emerging economies, while no statistically significant effect was found for foreign aid for research.