Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.
The purpose of this report is to provide some of the groundwork in answering the question of how the CGIAR system and other public agricultural research organisations should adapt and respond to an era of transformation framed by the SDGs. It does this by exploring the way in which this transformation agenda reframes agricultural research and innovation.
Este documento hace una reflexión a respecto de los sistemas de innovación agrícola y trae conceptos del tema
Tomando el caso de la agricultura holandesa como ejemplo, en este documento se hace un análisis del surgimiento y el papel de los gestores sistémicos de innovación en el estímulo de la interacción al interior del sistema de innovación agrícola y el desarrollo de la capacidad de innovación, además de reflexionar sobre su posible función en la agricultura de los países en vías de desarrollo y emergentes así como en la forma en que se puede promover su surgimiento y operación.
The Applied Research and Innovation Systems in Agriculture project (ARISA) started in December 2014 with the aim of increasing net farm income for 10,000 smallholder farming households in eastern Indonesia. The project was designed to address a key challenge in agricultural research for development: how to ensure that proven research outputs1 are available and accessible for use in farming communities.
This brief discusses the emergence of Asia as a hotpot of innovation and the implications for Australia's own innovation capacity
This paper reflects on the experiences of the Applied Research and Innovation Systems in Agriculture (ARISA) project to caralyse agricultural innovation by bringing RIs and private sector (PS) actors together in partnerships. Facilitating partnerships to caralyse innovation requires capacity building of individuals as well as institutional change. This paper examines the approaches to parnering for innovation, successes, challenges and lessons learned
This paper aims to map the experience of the RIU Asia projects and draw out the main innovation management tactics being observed while laying the groundwork for further research on this topic. It provides a framework to help analyse the sorts of innovation management tasks that are becoming important. This framework distinguishes four elements of innovation management: (i) Functions (ii) Actions (iii) Toolsand (iv) Organisational Format.