Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Este trabajo de investigación busca entender cuáles son los factores institucionales y políticos que pueden impulsar o desincentivar la adopción de prácticas de adopción de prácticas agrícolas sostenibles adaptadas al clima (ASAC) por parte de los pequeños productores, en el caso de un país, Honduras, con una mirada tanto a nivel nacional como a nivel local.
Las Plataformas de Innovación para implementar una Agricultura Sostenible Adaptada al Clima (PIASAC) para los pequeños agricultores fue un proyecto que tenía como objetivo generar conocimientos y capacidades locales sobre cambio climático y construir opciones de adaptación de manera participativa. El proyecto se llevó a cabo en el municipio de Gracias, ubicado en el Corredor Seco de Honduras.
Connecting science with policy has always been challenging for both scientists and policy makers. In Ghana, Mali and Senegal, multi-stakeholder national science-policy dialogue platforms on climate-smart agriculture (CSA) were setup to use scientificevidence to create awareness of climate change impacts on agriculture andadvocate for the mainstreaming of climate change and CSA into agriculturaldevelopment plans.
This paper was synthesized from several scholarly literature and aimed at providing up-to-date information on climate change impacts, adaptation strategies, policies and institutional mechanisms that each agriculture subsector had put in place in dealing with climate change and its related issues in West Africa. For each subsector (crop, fishery and livestock), the current status, climate change impacts, mitigation and adaption strategies have been analyzed
Recently, a new approach to extension and climate information services, namely Participatory Integrated Climate Services for Agriculture (PICSA) has been developed. PICSA makes use of historical climate records, participatory decision-making tools and forecasts to help farmers identify and better plan livelihood options that are suited to local climate features and farmers’ own circumstances.
Depuis 2011, le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire (CCAFS) soutient la mise en œuvre d’une agriculture intelligente face au climat (AIC) au Sénégal à travers le développement et la mise à l’échelle de technologies et pratiques AIC avec l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA). Dans ce cadre, le CCAFS a mis en œuvre de 2019 à 2021, un projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest ».
Du 3 au 5 au novembre 2020, s’est tenu à Kaffrine au Sénégal, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Kaffrine. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).