Innovation Platforms (IPs) are seen as a promising vehicle to foster a paradigm shift in agricultural research for development (AR4D). By facilitating interaction, negotiation and collective action between farmers, researchers and other stakeholders, IPs can contribute to more integrated, systemic innovation that is essential for achieving agricultural development impacts. However, successful implementation of IPs requires institutional change within AR4D establishments.
The three system CGIAR research programs on Integrated Systems for the Humid Tropics, Dryland Systems and Aquatic Agricultural Systems have included “capacity to innovate” as an intermediate development outcome in their respective theories of change. The wording of the intermediate development outcome is “increased systems capacity to innovate and contribute to improved livelihoods of low-income agricultural communities.” This note captures the CGIAR's collective thinking about this intermediate development outcome from a systems perspective to clarify it and inspire other programs.
Capacity development (CapDev) has been identified in CGIAR’s Strategy and Results Framework as a strategic enabler of impact for CGIAR and its partners, particularly through building and sustaining capacity of national partners and beneficiaries.
Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.
Les travaux portant sur l’inclusion des petits exploitants dans l’agriculture contractuelle dans le monde dressent des constats contradictoires. En Algérie, l’État a engagé en 2009 un programme d’appui à l’intégration des filières lait et tomate industrielle, en accordant des primes aux entreprises et aux agriculteurs qui s’engagent ensemble dans des contrats de commercialisation.
La sécurité alimentaire de l’Algérie est en grande partie dépendante de deux facteurs fortement impactés par la pandémie de la covid-19 : les finances publiques et le marché mondial des produits alimentaires. Le poids des importations dans la satisfaction des besoins alimentaires du pays témoigne de cette sensibilité aux perturbations du fonctionnement de ce marché mondial.