Numerous innovation platforms have been implemented to encourage the adoption of agricultural innovations and stakeholder interactions within a value chain. Yet little research has been undertaken on the design and implementation of innovation platforms focussing on issues other than market access and aiming to encourage agro-ecological intensification.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.
Extension and advisory services (EAS) play a key role in facilitating innovation for sustainable agricultural development. To strengthen this role, appropriate investment and conducive policies are needed in EAS, guided by evidence. It is therefore essential to examine EAS characteristics and performance in the context of modern, pluralistic and increasingly digital EAS systems. In response to this need, the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) has developed guidelines and instruments for the systematic assessment of national EAS systems.
Extension and advisory services (EAS) play a key role in facilitating innovation processes, empowering marginalized groups through capacity development, and linking farmers with markets. Advisory services are increasingly provided by a range of actors and funded from diverse sources. With the broadened scope of EAS and the growing complexity of the system, the quantitative performance indicators used in the past (e.g. related to investment, staffing or productivity) are not adequate anymore to understand whether the system is well-functioning.