La «Note d'Orientation sur l'Opérationnalisation» récapitule brièvement les fondements conceptuels et les principes du Cadre commun de travail pour le renforcement des capacités des systèmes d'innovation agricole et fournit également un guide détaillé de l'opérationnalisation de l'approche à Double Entrée du renforcement des capacités (RC) pour les systèmes d'innovation agricole (SIA). Le document offre aussi une stratégie de suivi et d'évaluation ainsi qu'une Boîte à Outils d'outils sélectionnés qui peuvent être utiles aux différentes étapes du RC pour les SIA.
Le volume «Fondements conceptuels» illustre les fondements conceptuels sous-tendant l’approche et l’opérationnalisation du renforcement des capacités (RC) des systèmes d'innovation agricole (SIA).
L'objectif du Cadre Commun de la TAP est de promouvoir une meilleure cohérence et un impact plus fort du RC en soutien aux SIA sous les tropiques. Développé en 2015 à travers un processus hautement participatif, il a été convenu que le Cadre devrait fournir des bases conceptuelles et des indications pratiques.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
Cette partie a pour objectif de retracer l’histoire de la création de l’agroécologie et de comprendre les conditions qui lui permettent d’exister dans un contexte paysan rural. Depuis ces mêmes fermes, les protagonistes essayent de transmettre le sentiment et le cœur de l’agroécologie tout en laissant voir le fonctionnement du MACAC, les pratiques quotidiennes et les réflexions de chaque protagoniste.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?