Ensemble, La FAO et la france travaillent pour améliorer la gouvernance alimentaire mondiale, promouvoir la gestion durable des ressources naturelles, renforcer les moyens de subsistance des communautés vulnérables, et favoriser le développement rural durable. Les récentes initiatives FAO + France ont contribué à :
La sécurité alimentaire de l’Algérie est en grande partie dépendante de deux facteurs fortement impactés par la pandémie de la covid-19 : les finances publiques et le marché mondial des produits alimentaires. Le poids des importations dans la satisfaction des besoins alimentaires du pays témoigne de cette sensibilité aux perturbations du fonctionnement de ce marché mondial.
Méthodologie: suivant une démarche préventive, notre travail s’intéresse aux conséquences nutritionnelles liées à la santé et représentant un facteur de changement climatique influant sur l’efficience des politiques préventives mises en œuvre.
La conférence du programme mondial de SEWOH (Initiative spéciale "Un seul monde sans faim") Programme mondial "Sécurité alimentaire et nutritionnelle, renforcement de la résilience" au Bénin a été consacrée à la promotion des changes et de la coopération Sud-Sud.
Le projet fait partie de l’initiative spéciale du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) " Un seul monde sans faim". Les projets de ladite initiative spéciale contribuent la réduction de l’extrême pauvreté et la faim par la mise en place, dans le monde, de plusieurs projets globaux touchant différents secteurs. Les thèmes visés sont la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience.
Avec le GIZ Programme Mondial Sécurité Alimentaire et Renforcement de la Résilience, l'Allemagne apporte une contribution significative aux objectifs de développement durable (en particulier la SDG 2 - "faim zéro"). Le programme vise à améliorer durablement la nutrition et la résilience des personnes - en particulier des femmes et des enfants. Pour y parvenir, le Programme Mondial combine des mesures de différents secteurs, par exemple l'agriculture, la santé, la sécurité sociale et le WASH (Water, Sanitation, Hygiene).
À Montréal, les organisateurs et organisatrices communautaires (OC) interviennent dans différents champs de pratique, dont celui de la sécurité alimentaire. Ces professionnels définissent l’organisation communautaire comme une intervention de soutien professionnel et d’influence dans une communauté permettant d’agir sur les facteurs collectifs qui ont une incidence sur la santé et le bien-être. Elle s’adresse prioritairement aux populations précarisées dans une perspective de justice sociale. Cette étude porte sur les pratiques d’organisation communautaire en sécurité alimentaire.
L’insécurité alimentaire s’intensifie au Québec malgré des interventions gouvernementales qui s’attaquent à divers aspects du problème et font intervenir de nombreux acteurs fédéraux et provinciaux de différentes sphères d’action publique. Ce mémoire s’interroge sur la cohérence des actions publiques au sein de chacun des ordres de gouvernement (cohérence horizontale) et entre ces ordres de gouvernement (cohérence verticale).
Depuis 2015, plus de 60 000 réfugiés syriens ayant fui la guerre ont été réinstallés au Canada, dont près de 14 000 au Québec, faisant de cette vague le plus important accueil de réfugiés au Canada considérant le nombre d’individus et le court délai. Le but de cette étude est de comprendre comment les facteurs socio-économiques, géographiques et culturels affectent l’insécurité alimentaire des ménages de réfugiés syriens au Québec.
Cette étude exploratoire propose un modèle permettant d'associer les capacités d’OCSA à des mesures d’EO, selon une approche multidimensionnelle. Elle vise aussi à comparer les opérations des OCSA dans quatre régions du Québec. Une analyse secondaire des données a été réalisée sur les données d’une enquête téléphonique préliminaire à l’étude longitudinale PARCOURS : demander de l’aide alimentaire, et après?. Entre novembre 2017 et juin 2018, des représentants de 141 OCSA ont répondu à un questionnaire dressant un portrait de leurs opérations. L’échantillon incluait 64 organismes DON (i.e.