RIU is a research and development programme designed to put agricultural research into use for developmental purposes and to conduct research on how to do this. The programme is funded by the UK’s Department for International Development (DFID). It follows earlier investments by DFID in agricultural and natural resources research, supported through its renewable natural resources research strategy (RRNRRS). While this strategy delivered high-quality research, the uptake of this research and its impact on social and economic progress was modest.
There is an emerging body of literature analyzing how smallholder farmers in developing countries can benefit from modern supply chains. However, most of the available studies concentrate on export markets and fail to capture spillover effects that modern supply chains may have onlocal markets. Here, we analyze the case of sweet pepper in Thailand, which was initially introduced as a product innovation in modern supplychains, but which is now widely traded also in more traditional markets.
By late in the twentieth century, scientists had succeeded in manip- ulating organisms at the genetic level, mainly by gene transfer. The major impact of this technology has been seen in the spread of geneti- cally modified (GM) crops, which has occurred with little controversy in some areas and with fierce controversy elsewhere. GM crops raise a very wide range of questions, and I address three areas of particular interest for anthropology and its allied fields.
The government of Ethiopia gives great attention to agriculture and rural development for the country’s economy development. Dairy development is one of the components of agricultural development. To improve dairy production in certain locality, dairy producers should able to access and use appropriate knowledge for the particular problem at the right time. This research was conducted to assess agricultural knowledge management system and its challenges and opportunities of knowledge management processes in Bure district.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
En esta publicación se presenta una visión general de las oportunidades y las dificultades actuales de las iniciativas encaminadas a aumentar los efectos de la extensión agraria y rural. El punto de partida para este análisis reside en el reconocimiento de que se ha superado la visión de la extensión agraria como sinónimo de la labor de los organismos del sector público.
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
La innovación es una condición fundamental para un crecimiento económico sostenido, que reduzca las disparidades sociales existentes en el país y permita un uso sustentable de sus recursos naturales.