Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
This article used thematic content analysis to assess the influence of IPs on the governance of the parboiled rice value chain. The findings reveal that local rice value chains are characterized by unequal access to resources and asymmetry of power, which generates inequalities within groups. Although their influence is less discernible, IPs have contributed to greater visibility for some emerging stakeholders and rebalanced stakeholders in terms of influence in value chains
in the context of the EU-funded JOLISAA (JOint Learning in Innovation Systems in African Agriculture) project, four local innovation processes involving smallholders in Benin were selected for in-depth assessment: innovation in hwedo agrofishing, integrated soil fertility management (ISFM), rice parboiling and soy value chains. Stakeholders directly involved in the innovation process were interviewed.
The publication reviews forty years of development experience and concludes that donors and partner countries alike have tended to look at capacity development as mainly a technical process, or as a transfer of knowledge or institutions from North to South.