Motivated by donor interest in innovative thinking on food security, the authors conducted an interdisciplinary, triangulation analysis of four divergent conceptual frameworks, each relevant to diagnosing food insecurity in developing countries. They found notable tensions as well as synergistic interactions between agroecology, agricultural innovation systems, social–ecological systems, and political ecology. Cross-framework interactions enhance our understanding of how sectoral and macro-economic development strategies impact on livelihoods, availability, and access.
Innovation platforms (IPs) are a way of organizing multistakeholder interactions, marshalling ideas, people and resources to address challenges and opportunities embedded in complex settings. The approach has its roots in theories of complexity, the concept of innovation systems and practices of participatory action research. IPs have been widely adopted across Africa and beyond in recent years as a “must have” tool in a range of “for development” modes of agricultural research.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
To cope and compete in this rapidly-changing world, organisations need to access and apply new knowledge. While explicit knowledge is important, what is often critical is an organisation’s ability to create, access, share and apply the tacit or un-codified knowledge that exists among its members, its network and the wider innovation system of which it is a part. This discussion paper explores the role of tacit knowledge in livestock sector innovation capacity though the case of Visakha Dairy, one of the most progressive producer-owned milk marketing companies in India.
This paper was prepared to present at the Farmer First Revisited: 20 Years On conference at the Institute of Development Studies, University of Sussex, UK, December, 2007. Its focus is the challenge of strengthening agricultural innovation systems. The paper prefaces this discussion by reflecting on an apparent paradox. While agricultural innovation has never been better studied and understood, many of our ideas about innovation have failed to fundamentally change the institutional and policy setting of public and private investment intended to promote innovation for development.