En Afrique, 45% du territoire est situé dans des régions où l’agriculture pluviale est fragilisée par les sécheresses récurrentes. Au Burkina Faso, la dégradation des sols peut être limitée grâce à la technique du Zaï, technique manuelle traditionnelle très exigeante en main d’œuvre (300h/ha). La mécanisation de l'opération permet de passer à 40h/ha. L’amélioration de la technique touche aujourd’hui plusieurs centaines de fermes et d’artisans dans une vingtaine de villages du nord du Burkina Faso.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.
Esta obra se base en los conocimientos y las experiencias de un grupo de administradores y evaluadores de 12 organizaciones, tanto nacionales como internacionales, que llevaron a cabo una serie de estudios de evaluación en Bangadesh, Cuba, Ghana, Nicaragua, Filipinas y Vietnam.
The African Forum for Agricultural Advisory Services (AFAAS), a not-forprofit continental body was conceptualized for the promotion of efficient and effective Agricultural Advisory Services (AAS) in Africa. The continental body is to provide a central platform to facilitate lesson learning and information sharing amongst African countries to develop a pool of best fit knowledge, skills, technologies and experiences for easy access by users with the overall aim of improving rural livelihoods.
Maize production is of critical importance to smallholder farmers in Ghana. Various factors limit the productivityof smallholder maize farming systems undergirded by the lack of capital for critical investments both at the farmand at national policy levels. Using a value chain approach, this diagnostic study explains how a complex configuration of actor interaction within an institutionally and agro-ecologically challenged value chain leads tothe enduring absence of maize farming credit support.
Globalization, urbanization and new market demands - together with ever-increasing quality and safety requirements - are putting significantly greater pressures on agrifood stakeholders in the world. The ability to respond to new challenges and opportunities is important not just for producers but also for industries in developing countries. This paper aims to present what "innovation response capacity" entails, especially for natural resourcebased industries in a developing country context.