Cold Chain Bangladesh Alliance (CCBA) was a Global Development Alliance (GDA), USAID’s model for public-private partnerships. It served as a pilot project aiming to establish Bangladesh first integrated cold chain to reduce postharvest losses and deliver high-value agricultural products to market.
From November 1, 2012 to June 30, 2015, Michigan State University subcontracted Washington State University together with the University of Rwanda (UR) in order to deliver a gender sensitive Masters of Science in Agribusiness program at UR. The project had three specific objectives, to strengthen the human and institutional capacity of UR in teaching and applied research in agricultural sciences; to promote and support women's access to graduate education in agricultural sciences; and to extend UR's knowledge about, and women's expertise in, agricultural sciences to the community.
El Gobierno de Perú está comprometido en mejorar el nivel de la electrificación rural, incrementando la cobertura del servicio eléctrico en áreas rurales de un 55 por ciento estimado para fines de 2010 a un 88 por ciento para el 2020. El presente informe consiste en una evaluación de los usos productivos de la electricidad en Perú dentro del contexto del Proyecto de Electrificación Rural cuyo propósito es ampliar el servicio de electricidad y atraer la participación de la población, los gobiernos locales y las empresas eléctricas de distribución regionales.
While much has been written about the importance of mainstreaming gender in agricultural value chains (and the challenges inherent in doing so), relatively few studies have provided details on cases in which gender integration 1 has been successful. This study, therefore, presents a collection of experiences in which rural advisory services (RAS) were able to successfully mainstream gender into agricultural value chains, categorised in terms of “best-fit practices”.
On l’ignore souvent, mais l’agriculture familiale produit l’essentiel de l’alimentation consommée en Afrique de l’Ouest. Or son rôle n’est pas reconnu ni son potentiel soutenu par les politiques publiques.Les chapitres thématiques de cette publication explorent cinq champs d’innovation : « Améliorer la production », « Créer de la valeur par la transformation », « S’organiser pour agir et peser », « Maîtriser les marchés » et « Accéder au financement ».
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Cet article reprend des travaux de prospective réalisés sur l’Afrique de l’Ouest. Il souligne la tendance à l’augmentation de la taille et à la concentration des exploitations agricoles. Selon les auteurs, cette évolution nécessitera pour l’agriculture familiale une transition vers une vocation plus commerciale.
Si elle ne prend pas en compte le secteur de la transformation qui la connecte aux marchés, l’agriculture vivrière commerciale ne sera pas en mesure de relever les défis de sécurité et de souveraineté alimentaires des pays ouest-africains. Tour d’horizon du potentiel du secteur agro-alimentaire et des effets de leviers à activer pour son développement.