Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Most agencies supporting agricultural research in sub-Saharan Africa (SSA) provide funds for discrete projects over specific periods of time, usually a maximum of three years. Research topics identified for calls for proposals are not always well aligned with users’ needs. In particular, research topics may not reflect the priorities of organizations - such as farmer organizations and private agribusinesses, with interests in the research outcomes; they are not generally supported to play a significant role as project partners.
La plupart des agences qui soutiennent la recherche agricole en Afrique subsaharienne fournissent des financements à des projets distincts durant des périodes spécifiques, en général pour une durée maximale de trois ans. Les sujets de recherche identifiés pour les appels à propositions ne correspondent pas toujours aux besoins des utilisateurs. Ils peuvent, en particulier, ne pas refléter les priorités des organisations – comme les organisations paysannes ou les entreprises agricoles privées, pourtant intéressées par les résultats de la recherche.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.
The FAO e-learning courses cover a wealth of topics in the areas of food and nutrition security, social and economic development and sustainable management of natural resources.
All our courses are designed for self-paced learning, and offered free of charge.
Este documento relata una investigación de carácter documental de experiencias propias de los autores a través de la docencia e investigación de campo por más de cuatro décadas, describe el papel del adminsitrador de negocios agroalimentares en la seguridad alimentaria. El documento está escrito dentro del orden que exige un ensayo en la técnica bibliográfica.
The “ONE WORLD – No Hunger” Initiative (SEWOH) by the German Federal Ministry for Economic Cooperation and Development (BMZ) is part of the G7 goal to free 500 million people from hunger and malnourishment by 2030. SEWOH intends to contribute significantly to reducing poverty and hunger in developing countries in general and Cameroon in particular. The Cameroonian project is part of the framework of the global project – “Green Innovation Centres for the Agriculture and Food Sector” (ProCISA).