As the world gets hotter and rainfall more erratic, the type and availability of ingredients for daily meals are changing. With support from the Government of Canada and the Global Environment Facility’s Least Developed Countries Fund, the Canada-UNDP Climate Change Adaptation Facility (CCAF) has been supporting six least developed countries and small island developing states (Cabo Verde, Cambodia, Haiti, Mali, Niger and Sudan) to strengthen climate resilience and enhance food security. To better understand and share the experiences from these six countries, and to celebrate some of the s
In Chadakori, Niger, the Dimitra clubs offered training sessions on composting techniques. Trained farmers were asked to share their knowledge to 5,000 attendees, 60% of which were women. Almost 800 compost pits were built, producing 20 tons of organic matter, introdcuing cost-savings and boosting the richness of farm fields. The FMM subprogramme inspired radio stations to broadcast the results, motivating other villages to also learn about composting. Thanks to the support of the FMM, FAO is promoting inclusive community engagement and women’s empowerment in Africa.
This event launches a new phase of the JP RWEE that will even further enhance its holistic approach to advancing rural women’s economic empowerment by integrating a climate resilience lens to tackle deep rooted social norms which limit women’s participation and leadership in rural communities including through applying gender transformative approaches.
The IFAD Innovation Strategy does not set new objectives for staff, but rather defines what is needed to create an innovation-friendly environment and to support staff in achieving the expected results.To strengthen its innovative capabilities and become a better catalyst of pro-poor innovation, IFAD will focus on four clusters of activities: (i) Building capabilities and understanding of challenges requiring innovation; (ii) Nurturing partnerships and facilitating an innovation network; (iii) Embedding rigorous innovation processes and the related risk management into IFAD’s core business
Society’s learning capacity in the field of sustainable land resource management is at stake and more emphasis on knowledge management is needed to guarantee that the accumulated knowledge is shared in such a way that the right actors have appropriate knowledge at the right time to take the best decisions. Efficient policies governing structures for national and regional knowledge management need to be formulated and the working procedures of the various actors in the field need to be defined more sharply.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
El informe está estructurado en tres partes:
• la primera parte trata de la adaptación de la agricultura familiar a los cambios climáticos y de las condiciones de la adaptación; • la segunda parte aborda el lugar que ocupa la adaptación de la agricultura familiar en las políticas públicas;
• la tercera parte propone algunas recomendaciones para una mejor integración de este tema en las políticas públicas.
Una presentación de los tres estudios de caso-países figura también en anexo.
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ».
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.