Agricultural innovation is a process that takes a multitude of different forms, and, within this process, agricultural research and expertise are mobilised at different points in time for different purposes. This paper uses two key analytical principles to establish how research is actually put into use. The first, which concerns the configurations of organisations and their relationships associated with innovation, reveals the additional set of resources and expertise that research needs to be married to, and sheds light on the types of arrangements that allow this marriage to take place.
La demande croissante de denrées alimentaires, à la fois en quantité et en qualité, a accru la nécessité d'intensifier et d'industrialiser le secteur agricole. L'Internet des objets est une famille de technologies très prometteuse, capable d'offrir de nombreuses solutions pour la modernisation de l'agriculture.
On observe depuis une vingtaine d'années l'émergence de bassins de production maraîchère dans le Sahara algérien par la mobilisation des eaux souterraines profondes, en marge des oasis traditionnelles. Dans la vallée du Souf, les agriculteurs se sont orientés vers la culture de la pomme de terre, irriguée par des petits pivots artisanaux. L'objectif de l'article est d'analyser le processus d'innovation ayant permis l'émergence et la diffusion du pivot artisanal.
L’agriculture oasienne reflète l’ingéniosité d’une société ayant pu vaincre un milieu hostile et défavorable au peuplement. En Algérie, cette agriculture traditionnelle a été bouleversée par l’introduction des emplois non-agricoles, qui ont perturbé la stratification sociale établie.
Dans un contexte de rareté de l'eau, les pays de l’Afrique du Nord Ouest (NWA) consomment 70% de leurs ressources en eau renouvelables. La surexploitation des eaux souterraines, estimée à près de 50%, est devenue un défi majeur pour la conception et la mise en oeuvre de politiques durables d'allocation et de gestion de l'eau dans la région. Cette situation menace l'avenir de l'irrigation, où la contribution des eaux souterraines est déterminante : 100 % en Libye, 68 % en Tunisie, 54 % en Algérie.
The COVID-19 pandemic and the measures taken by governments on social distancing and mobility restrictions have contributed to boosting the use of digital technology to bridge some of the physical access gaps. An increasing number of services and extension/information activities are delivered through digital tools and applications. E-commerce has also flourished. As a result, the potential of digital technologies has gained prominence in immediate response and recovery strategies and programmes.
Developing irrigation technology for a diversity of farmers with rapidly changing demands can be hard for designers, especially when the technology concerns smallholders in developing countries. Innovation networks supporting the adopted technology increasingly include both globalised players and very local actors, making innovation intermediaries capable of translating innovation issues for different actors increasingly indispensable.