Este libro se propone mostrar el modo en que la construcción de sentido en torno al concepto de interdisciplina en equipos de trabajo, es eje de un proceso de comunicación que acompaña cambios organizacionales. Dichos cambios no son estructurales sino que intervienen en las relaciones entre los sectores de investigación y extensión, las dos ramas fundamentales del Instituto Nacional de Tecnología Agropecuaria (INTA), organismo nacional dedicado a la generación y transferencia de tecnología.
This book documents a unique series of 19 case studies where agricultural biotechnologies were used to serve the needs of smallholders in developing countries. They cover different regions, production systems, species and underlying socio-economic conditions in the crop (seven case studies), livestock (seven) and aquaculture/fisheries (five) sectors. Most of the case studies involve a single crop, livestock or fish species and a single biotechnology.
Research, extension, and advisory services are some of the most knowledge-intensive elements of agricultural innovation systems. They are also among the heaviest users of information communication technologies (ICTs). This module introduces ICT developments in the wider innovation and knowledge systems as well as explores drivers of ICT use in research and extension
African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
This book represents the proceedings of the FAO international technical conference dedicated to Agricultural Biotechnologies in Developing Countries (ABDC-10) that took place in Guadalajara, Mexico on 1-4 March 2010. A major objective of the conference was to take stock of the application of biotechnologies across the different food and agricultural sectors in developing countries, in order to learn from the past and to identify options for the future to face the challenges of food insecurity, climate change and natural resource degradation.
The CCAFS (CGIAR Research Program on Climate Change Agriculture and Food Security) annual report for 2016 describes impact through policies and partnerships, capacity development and innovative communication, breakthrough science and innovation and integrating gender and youth. It features regional highlights and publications, and lists the people involved, financial summary, and our donors.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».