Estas cartillas han sido producidas en el marco del Proyecto “Innovaciones institucionales para el apoyo a la gestión de procesos comerciales de la Agricultura Familiar y su vinculación con los mercados”, que se desarrolló de forma simultánea en Chile, Perú y la Argentina entre los años 2014 y 2016. Este proyecto fue financiado por el Fondo Concursable para la Cooperación Técnica del IICA (FonCT) con contrapartes gubernamentales en los tres casos. El proyecto parte de identificar tres problemas específicos con relación a la comercialización de los agricultores familiares:
Esta publicación da cuenta de los aprendizajes de los diversos procesos asociativos de dichas experiencias de la agricultura familiar, la caracterización de aspectos organizativos, jurídicos, productivos, de comercialización y agregado de valor de las asociaciones, como así también de la construcción de redes público privadas para su gestación y consolidación.
En esta cartilla presentamos los objetivos del trayecto de formación diseñado, su estructura, estrategias, modalidades y recursos didácticos disponibles y los métodos de evaluación pensados, para que quienes quieran replicarlo puedan tomarlos de referencia y modificarlos en función de las condiciones específicas en que se piense implementar.
El presente trabajo se plantea como objetivo principal contribuir e impulsar las iniciativas locales de producción y comercialización de yuca dominicana, de forma tal que sean aprovechadas las oportunidades existentes para la comercialización de dicho producto en el mercado de Estados Unidos, de la mano con las condiciones creadas en cuanto a las normativas a cumplir, y las instituciones fortalecidas, dispuestas y vinculadas para facilitar el apoyo requerido por los productores de yuca de la República Dominicana, para que éstos produzcan y compitan con calidad, consistencia, valor agregado
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.