The purpose of this paper is to re-examine the role that benchmarking can play in rural and agricultural innovations. Although generally known as 'traditional sector', rural activities are far from static but rather driven by old and new challenges pleading for innovative responses. Despite the broad range of insights from the burgeoning literature on innovation systems during the last decade, most benchmarking thinking and practice still remains highly science-based and centred in promoting public R&D, especially in developing countries.
The Centre for Development Research (CDR), in collaboration with local partnership managed by the Bangladesh Agricultural University worked to establish a platform (i.e. a participatory rural video centre) that acts upon fostering rural women’s capacity for agricultural innovation in the north-west and north-east region of Bangladesh. In this paper, the authors elaborate principles of establishing the centre, and some evidences on Farmers’ Participatory Research (FPR) in the community.
This paper takes a closer look at innovation systems, including the various actors involved, their interrelationships, and governance mechanisms. Innovation systems operate at different levels, in terms of structure, functioning, and performance at the national level, and from two different angles: as a macrostructure that involves different functions and key organizations working on these functions, and as the composite of different innovation networks comprising individuals and local and national organizations.
Research, extension, and advisory services are some of the most knowledge-intensive elements of agricultural innovation systems. They are also among the heaviest users of information communication technologies (ICTs). This module introduces ICT developments in the wider innovation and knowledge systems as well as explores drivers of ICT use in research and extension
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
El documento que presentamos fue pensado para que los técnicos, asesores, formadores, gestores, capacitadores, coordinadores o líderes, tanto de organizaciones rurales y asociaciones de productores, como de agencias de desarrollo –gubernamentales o de la sociedad civil― cuenten con un instrumento de apoyo para desarrollar unidades pequeñas de producción y de servicios rurales en una región parcular.
El presente documento es elaborado en el marco del diseño de una Agenda de Extensión Rural Latinoamericana que contribuya a un desarrollo inclusivo. En esta etapa la Red Latinoamericana y del Caribe para Servicios de Extensión Rural, constituida en Noviembre del 2010, ha priorizado el trabajo en 4 temas relevantes siendo “La Extensión como parte de un sistema de innovación”, uno de ellos.
Esta Política de Estado se sustenta en cuatro ejes temáticos, que hemos convenido en llamar los pilares de la política: a) competitividad; b) innovación y desarrollo tecnológico; c) gestión de los territorios rurales y agricultura familiar; y d) cambio climático y gestión agroambiental. Se adiciona un eje transversal, que indica los principales alineamientos institucionales que se implementarán para hacerla realidad.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?