This paper illustrates already practiced models and strategies of high impact innovations around the world with particular respect to India. The shown examples of innovative businesses were selected based on four criteria reflecting their innovative character. Firstly, innovations need to fulfil a value for the life of people which exceeds the mere use of the product. Secondly, it requires good quality products or service for an affordable price even for lower income groups.
This brief summarizes the main activities carried out by the 15 international agricultural research centers of the global research partnership for a food secure future CGIAR and their affiliated institutions develop innovative solutions for sustainable agriculture
Le programme de la GIZ intitulé « Amélioration des conditions-cadres dans le secteur privé et financier (ProEcon) » vise à promouvoir le développement économique au Zimbabwe. Parmi les projets conçus à cet effet figure la promotion des cycles économiques en milieu rural. Se fondant sur l’agriculture contractuelle comme instrument efficace, le projet ProEcon appuie l’intégration des petits exploitants agricoles dans les chaines de valeur, l’objectif étant d’augmenter leurs possibilités de revenu.
La conférence du programme mondial de SEWOH (Initiative spéciale "Un seul monde sans faim") Programme mondial "Sécurité alimentaire et nutritionnelle, renforcement de la résilience" au Bénin a été consacrée à la promotion des changes et de la coopération Sud-Sud.
Le projet fait partie de l’initiative spéciale du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) " Un seul monde sans faim". Les projets de ladite initiative spéciale contribuent la réduction de l’extrême pauvreté et la faim par la mise en place, dans le monde, de plusieurs projets globaux touchant différents secteurs. Les thèmes visés sont la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience.
Avec le GIZ Programme Mondial Sécurité Alimentaire et Renforcement de la Résilience, l'Allemagne apporte une contribution significative aux objectifs de développement durable (en particulier la SDG 2 - "faim zéro"). Le programme vise à améliorer durablement la nutrition et la résilience des personnes - en particulier des femmes et des enfants. Pour y parvenir, le Programme Mondial combine des mesures de différents secteurs, par exemple l'agriculture, la santé, la sécurité sociale et le WASH (Water, Sanitation, Hygiene).
Due to political conflict, hundreds of thousands of people had to leave their homes in northern Mali in the last decade. Many have since returned to their home but struggle to regain their livelihoods. In the Timbuktu region, food insecurity is very high and 15 percent of children under 5 years old suffer from acute malnutrition. Goundam, one of the administrative districts of the Timbuktu region, is populated by livestock farmers. Among the previously displaced people, many have lost all their livestock, and with that their traditional means of livelihood.
The world’s population is likely to reach 9 billion by the middle of this century. The Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) believes that 60 per cent more food will be needed by 2050 to sustain all these people. Where possible, this food should be produced where it is needed – in developing countries.
Feeding the world’s steadily growing population while respecting the planetary boundaries will be a key challenge for humanity in the future. Prevailing production and consumption patterns are leading to a loss of natural resources and destroying ecosystems and their functions. More than 820 million people were affected by malnutrition in 2017. Climate change is exacerbating this development and pushing natural ecosystems to their limits, something that is having far-reaching consequences for the environment, the economy and humanity.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.