In sub-Saharan Africa, there is increasing interest for the adaptation and use of the innovation systems approach to advance learning and development in the Agricultural Research and Development (ARD) sector. This crave is constrained by unavailability of a proven blue print that describe the paradigm shift from the linear approach and how such could function under different socio-economic, cultural and political climate.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
There is an emerging body of literature analysing how smallholder farmers in developing countries can benefit from modern supply chains. However, most of the available studies concentrate on export markets and fail to capture spillover effects that modern supply chains may have on local markets. Here, we analyse the case of sweet pepper in Thailand, which was initially introduced as a product innovation in modern supply chains, but which is now widely traded also in more traditional markets.
Natural resource management practices, such as the System of Rice Intensification (SRI), have been proposed to tackle agricultural challenges such as decreasing productivity growth and environmental degradation. Yet, the benefits of system technologies for farmers are often debated. Impacts seem to be context-specific, which is especially relevant in the small farm sector with its large degree of agroecological and socioeconomic heterogeneity. This was not always considered in previous research.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Sur la base de 16 études de cas, nous cherchons à comprendre comment l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) transforme les dispositifs de conseil agricole au Burkina Faso. Si les outils employés et les thématiques du conseil sont diversifiés, les services demeurent récents et inaboutis. Les prestataires de conseil cherchent en effet à améliorer les outils et services, dont la durabilité n'est pas encore garantie. Ceci s'explique notamment par la complexité du travail inter-organisationnel pour développer ces services.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
The turn of agrarian sciences and agricultural extension from reductionist and transfer of technology, respectively, towards systemic approaches has transformed agricultural/rural development thinking in the last decades. Nevertheless, the emergence of Agricultural Innovation Systems (AIS) has to confront a number of gaps among which the expert – lay knowledge gap is of major importance. This paper aims at exploring such a gap as well as obstacles to participatory development from a critical realist point of view.
L’Afrique Subsaharienne n'a pas assez bénéficié des grandes révolutions connues du monde agricole qui ont permis d’accroitre les productivités. Malgré l’existence des nouvelles technologies, les niveaux des productivités agricoles demeurent faibles et inférieurs à ceux d’autres régions en développement. Un certain nombre de facteurs, dont les contraintes à l’adoption des nouvelles technologies, pourraient expliquer ces faibles productivités.
Global adoption of transgenic crops reached 67.7 million hectares in 2003 from 2.8 million in 1996. Delivery has occurred almost entirely through the private sector and adoption has been rapid in areas where the crops addressed serious production constraints and where farmers had access to the new technologies. Three countries (USA, Argentina and Canada), three crops (soybean, cotton and maize) and two traits (insect resistance and herbicide tolerance) account for the vast majority of global transgenic area.