The agrarian system Analysis and Diagnosis is used for this study, the goal of which was to provide a corpus of basic knowledge and elements of reflection necessary for the understanding the Niayes farming systems dynamics in Senegal, West Africa. Such holistic work has never been done before for this small region that provides the majority of vegetables in the area, thanks to its microclimate and access to fresh water in an arid country.
The agricultural industry is getting more data-centric and requires precise, more advanced data and technologies than before, despite being familiar with agricultural processes. The agriculture industry is being advanced by various information and advanced communication technologies, such as the Internet of Things (IoT). The rapid emergence of these advanced technologies has restructured almost all other industries, as well as advanced agriculture, which has shifted the industry from a statistical approach to a quantitative one.
The creation of commercialization opportunities for smallholder farmers has taken primacy on the development agenda of many developing countries. Invariably, most of the smallholders are less productive than commercial farmers and continue to lag in commercialization. Apart from the various multifaceted challenges which smallholder farmers face, limited access to extension services stands as the underlying constraint to their sustainability.
Common Agricultural Policy (CAP) proposes environmental policies developed around action-based conservation measures supported by agri-environment schemes (AES). High Nature Value (HNV) farming represents a combination of low-intensity and mosaic practices mostly developed in agricultural marginalized rural areas which sustain rich biodiversity. Being threatened by intensification and abandonment, such farming practices were supported in the last CAP periods by targeted AES.
African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.