Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
This paper presents a case study of the Honey Bee Network’s decentralized model for collecting, verifying and disseminating grassroots innovations and provides a roadmap for its replication in Africa. The Honey Bee Network brings together governmental and non‐governmental institutions, members of academia, scholars and a large number of volunteers.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
El informe está estructurado en tres partes:
• la primera parte trata de la adaptación de la agricultura familiar a los cambios climáticos y de las condiciones de la adaptación; • la segunda parte aborda el lugar que ocupa la adaptación de la agricultura familiar en las políticas públicas;
• la tercera parte propone algunas recomendaciones para una mejor integración de este tema en las políticas públicas.
Una presentación de los tres estudios de caso-países figura también en anexo.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Sur la base de 16 études de cas, nous cherchons à comprendre comment l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) transforme les dispositifs de conseil agricole au Burkina Faso. Si les outils employés et les thématiques du conseil sont diversifiés, les services demeurent récents et inaboutis. Les prestataires de conseil cherchent en effet à améliorer les outils et services, dont la durabilité n'est pas encore garantie. Ceci s'explique notamment par la complexité du travail inter-organisationnel pour développer ces services.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
The paper describes the existing mechanisms of innovation diffusion particularly focusing on the initial phase to introduce the results of innovative projects into the government system of Uzbekistan. The paper aims to analyze the existing bureaucratic, legal and political matrix for the introduction of ZEF project innovations into practice. The innovations developed by the staff of the ZEF/UNESCO project in Uzbekistan range from their content and purpose of use from technological to institutional ones. The innovations considered in this paper are mainly technological ones.
Technological innovations have driven economic development and improvement in living conditions throughout history. However, the majority of smallholder farmers in sub‐Saharan Africa have seldom adopted or used science‐based technological innovations. Consequently, several scholars have been persistently questioning the effectiveness of intervention models in smallholder agriculture.
The main goal of the study is to quantify the effects of a) change in nitrogen fertilization rate, b) adjustment of sowing date, c) implementation of new cultivars, and d) supplementary irrigation on maize cropping systems across six African countries including Ghana, Nigeria, Kenya, Malawi, Ethiopia and Burkina Faso. For this purpose, 30 years (1980-2010) of climate data are used as well as soil and management information obtained from global datasets at 0.5° x 0.5° spatial resolution.