This document is part of the project “Strengthening the adaptive capacity to climate change in the fisheries and aquaculture sector of Chile”, executed by the Undersecretariat of Fisheries and Aquaculture and the Ministry of the Environment, and implemented by the Food and Agriculture Organization of the United Nations, with funding from the Global Environment Facility. The work was implemented in four pilot coves: Caleta Riquelme (Tarapacá); Caleta Tongoy (Coquimbo); Caleta Coliumo (Biobío); and Caleta El Manzano-Hualaihué (Los Lagos).
Globally, the role of extension agents in scaling up the utilization of Climate Smart Agricultural Initiatives (CSAI) by farmers remains very crucial. This study examined the determinants of the involvement of extension agents in the dissemination of CSAI to farmers. A two-staged random sampling technique was used to elicit information from 277 extension agents in South West Nigeria using a structured questionnaire. Data were analysed using frequency counts, percentage and linear regression analysis
Agricultural communication to mitigate climate change enables information dissemination of both scientific knowledge (SCK) and indigenous knowledge (IDK) for practical farming. This research analyzed knowledge utilization and conducted community-based participatory communication to propose a practical agricultural communication framework for climate mitigation. Based on a qualitative method of data collection in Phichit province, the key findings showed that SCK and IDK can be mutually utilized to enhance the good relationship among the people and for the people with nature.
This paper assesses how institutional interactions can strengthen effectiveness, by focusing on three multi-stakeholder partnerships for renewable energy. Based on an expert survey and semi-structured interviews, the study provides both theoretical and empirical contributions to understanding institutional interactions in relation to effectiveness. Moreover, it provides insights on how to strengthen the effectiveness of multi-stakeholder partnerships for renewable energy
CCAFS-MOT is a tool to support farmers, policy advisors and agricultural extension services on the choice of management practices that reduce greenhouse gas emissions (GHG) without risking food security. It is an Excel-based tool which brings together several empirical models to estimate GHG emissions in rice, cropland and livestock systems, and provides information about the most effective mitigation options. Greenhouse gas emissions are estimated in terms of carbon dioxide equivalent per hectare (kg CO2eq ha− 1) and carbon dioxide equivalent per unit of product (kg CO2eq kg− 1).
Fall Armyworm (Spodoptera frugiperda), or FAW, is an insect native to tropical and subtropical regions of the Americas. In the absence of natural controls or good management, it can cause significant damage to crops. It prefers maize, although it can feed on more than 80 additional species of crops including rice, sorghum, millet, sugarcane, vegetable crops and cotton.
La FAO, IBM et Microsoft cherchent des moyens concrets et durables d’utiliser l’intelligence artificielle dans le respect des principes d’éthique approuvés par le pape François 24 septembre 2020, Rome - Lors d'une manifestation organisée aujourd'hui à l'Académie pontificale pour la vie, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), IBM et Microsoft ont réitéré leur engagement en faveur de la mise au point de formes d'intelligence artificielle (IA) qui soient inclusives et promeuvent des moyens durables de concrétiser la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Lors de la conception de projets, il importe de faire intervenir les parties prenantes locales le plutôt possible afin de veiller à ce que les activités de renforcement des capacités répondent vraiment à leurs besoins. Les processus multipartites peuvent aussi mener à à une plus grande appropriation des activités et des résultantes des projets. La présente étude de cas offre un exemple de processus multipartite mis en place avec succès au Soudan pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et la nutrition dans quatre États.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
Grâce à l’analyse des capacités réalisée en complément des activités visant à améliorer la nutrition, les parties prenantes ont pu obtenir une vue d’ensemble des obstacles auxquels les institutions sont confrontées en Ouganda.
Le manque de capacités individuelles et organisationnelles compromet souvent l’impact à long terme de programmes qui par ailleurs sont techniquement solides. La FAO a donc mis au point des outils destinés à aider les pays à déterminer les déficits de capacités et à répondre à leurs besoins réels de manière durable. La présente note décrit