Integrated Pest Management (IPM) is considered as an ecological conservation technology for crop pests' management; however, the technology adoption is intensely affected by surrounding socio-psychological environment, which is poorly studied, particularly in developing nations. The present study therefore aimed at addressing this gap through application of an extended form of Technology Acceptance Model (TAM) in order to examine the determinants of Iranian farmers' ecological conservation behavior regarding the use of IPM practices.
Agricultural professionals play an important role in informing and educating farmers about biofuel through teaching or extension work. One of the questions commonly asked is if they are knowledgeable and possess positive attitude towards renewable energy sources. The aim of this article is to investigate Agricultural professionals' attitude and willingness towards biofuel using a random sample of professionals (n = 180) in a survey conducted in Zanjan province in Iran
This study refines the participatory management (PM) in agricultural extension education (AEE) by adopting a multidimensional approach. PM is a process where extension agent (EA) tries to provide a good situation for AEE and share significant degree of power with their farmers. The data were obtained from samples of 290 Iranian farmers in Torbat Heydarieh, Iran. Methodology was descriptive and correlation. There was directly and a statically significant relation between all of components of PM regarding in effective AEE. The PM is a panacea for improving the AEE.
Evaluation provides effective feedback for development plans and programs. In this respect, it is of utmost importance to ensure that the outputs of agricultural extension and education projects are compatible with the ones expected. Therefore, the main purpose of this study was to evaluate agricultural extension model sites approach from actors’ perspectives and to analyze their gaps via the context, input, process, and product (CIPP) evaluation model.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.