ABSTRACT. In the last decades, a growing scholarship has outlined the crucial role of social networks as a source of resilience. However, with regard to the Global South, the role of social networks for the resilience of rural communities remains an under- researched and underconceptualized issue, because research remains scattered between different strands and has rarely been integrated from a resilience perspective.
A group of researchers and industry writers have constructed a narrative of technological triumph for Bt cotton in India, based on an empirical record of superior performance compared to conventional seed. Counterclaims of Bt cotton failure are attributed to mutually reinforcing interactions among non-governmental organisations which avoid rigorous comparisons. However, researchers and the biotechnology industry are also engaged in a similar authentication loop for generating, validating, and publicising such facts.
This article rebuts the argument that shortcomings in Bt cotton studies and divergence between yield gains and extent of adoption of Bt hybrids make it impossible to conclusively say anything about the impact of genetically modified seeds. Further, it points out that there have been numerous studies that have controlled for selection and cultivation bias, and concluded that Bt cotton has had statistically significant positive yield effects.
Genetically engineered (GE) foods apply new molecular technologies to Widely adopted in the United States, Brazil, and Argentina for the p corn, soybeans, and cotton, they are practically banned in Europe and tigh throughout the world. We have found that GE foods have significantly incr of corn, soybean, and cotton, and lowered their prices, thus improving food foods have already contributed to a reduction in the use of pesticides and
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.